Droit de la famille
Maître Claire LAMORIL-HOUTART – Avocate en droit de la famille à Arras
Le droit de la famille concerne les relations entre des individus liés par un lien d’alliance ou de parenté.
En cas de litige ou de toute autre problématique, Maître Claire LAMORIL-HOUTART, avocate en droit de la famille à Arras, peut intervenir pour vous accompagner, vous conseiller et vous assister.
Votre avocate intervient dans les domaines suivants :
- Le mariage, la séparation et le divorce à l’amiable (par consentement mutuel) ou contentieux (pour acceptation du principe de la rupture, divorce pour faute et divorce pour altération définitive du lien conjugal) ;
- La pension alimentaire;
- La garde des enfants, l’autorité parentale, la garde alternée, la garde exclusive, le droit de visite et d’hébergement;
- Le partage des biens et la liquidation du régime matrimonial;
- La prestation compensatoire;
- Les successions;
- La sauvegarde de justice, la tutelle et la curatelle, etc.
Maître Claire LAMORIL-HOUTART vous assiste aussi devant le Juge aux affaires Familiales et défend vos droits.
Lorsque deux personnes unies par un lien de mariage souhaitent se séparer, elles doivent entamer une procédure de divorce. Cela représente une décision difficile à prendre, toutefois, elle est nécessaire pour se séparer de la manière la plus juste. Qu’elle soit une procédure à l’amiable ou contentieuse, chaque protagoniste doit se faire accompagner par son propre avocat pour le représenter et régler des problématiques liées aux conséquence du divorce, notamment, la garde des enfants, le partage des biens, le montant de la pension alimentaire, le montant de la prestation compensatoire, etc.
L’article 220 du Code Civil impose l’obligation de solidarité entre les époux. En effet, les dettes contractées par l’un des deux conjoints au titre de l’entretien du ménage et/ou de l’éducation des enfants peuvent engager l’autre solidairement.
Le montant de la pension alimentaire dépend des facultés contributives des époux et des besoins du créancier.
C’est un ensemble de mesures qui peuvent être décidées par le Juge des enfants pour les protéger quand leur moralité, leur sécurité ou leur santé sont en danger ou quand leurs conditions de développement ou d’éducation sont compromises.
Le droit de succession apparaît sur le papier comme une simple formalité. Par ailleurs, le testament indique la manière de répartition des liquidités comme des biens immobiliers et mobiliers. En l’absence de testament, la loi prévoit une transmission de l’héritage selon le lien de parenté avec le défunt. Toutefois, la quote-part du patrimoine à percevoir peut ne pas satisfaire les prétendants, d’où la naissance de conflits latents ou révélés. L’héritier peut ainsi se trouver dans une situation de blocage de la succession empêchant le partage…